martes, agosto 28, 2007

Quand j'ai fait ma premmière comunion


















Il s'agi de la communión dite privée de mon temps.
Celle qui grace à Saint Pie X les petits enfants de religion catholiques faisions une fois arrivés à l'age de raison.
Donc plus ou moins vers les sept ans.
Je m'en souviendrais toujours. Ce fut en 1.947 pour la Noël. Nous habitions Reims au 24 de la rue de Tambour, ayant pris mes parents,Monsieur et Madame Estadés, la succession du magasin tenu, avant, par le cousin Salvador Sastre,décédé en 1.944 au moment de la liberation de la ville par les alliés.
Je fréquantais une école des Frères des Ecoles Chrétiennes du rémois Saint Jean Baptiste de la Salle. Celle qui se trouvait située dans la rue Raymond Guyot à deux pas du Petit Seminaire ou je devais aller plusieurs années aprés. Le Frère Attale était le directeur de la dite école. Il y avait aussi Frère André le professeur de ma classe.Je me souviens, aussi, de Jean Walter, un garçon blond à peu prés de mon âge. Il habitait, pas loin de chez nous, Place de l'Hotel de Ville au dessus des Pompes Funèbres Galichet; avec sa maman et une soeur et un frère plus agés que lui .
L'école - comme d'ailleur le Petit Séminaire - se trouvait à deux pas de l'Eglise Parroissiale de Saint André, une des principales de la Ville aprés Notre Dame, la Basilique de Saint Rémi ou l'église Saint Jacques. Le curé dont je me souviens plus le nom - chanoine honnoraire du diocèse comme le voulait la coutume de l'époque- avait un auxiliaire qui a sa mort lui succeda. En plus il y avait les deux vicaires.
A dire vrai Saint André n 'était pas notre parroisse mais c'est ici ,que le 22 juin de la dite année 1947, je reçú le sacrement de la confirmation des mains de l' Archeveque Louis Marmottin; le quel je me souviens parfaitement ne célébrait pas sa onomastique pour la Saint Louis Roi de France sinon pour la Saint Louis Gonzague. Soit donc le 21 juin et non le 25 aout.
Et c'est aussi à l'Eglise Parroissiale de Saint André de la ville et du diocèse de Reims qu',a la messe de minuit du 24 au 25 décembre de l'année 1.947-j'ai pieusement fait ma premmière communión accompagné de mes chers et regrettés parents.
Maitre Albert Etienne Reville,démocrate chrétien de religion évangeliste (donc protestant comme on disait à l'époque) et client de chez nous Rue Cerés 32 - était le Maire de la Ville.
J'avais sept ans et demie et ce fut une veillée merveilleuse et dont je gardes un trés joli souvenir

lunes, mayo 21, 2007

La petite soeur de maman décédée á l'age de cent un an



C'est de la petite soeur de ma maman que je veux vous parler. Cette humble femme, veuve, majorquine par le sang, mais marnaise ( d'Epernay) et donc champenoise par la naissance est décédée, le jour des Rois Mages, 6 janvier 2009,aux Illes Baléars dans le village de ses ancêtres appellé Fornalutx. Née le samedi 25 mai 1907, elle avait cent un an, sept mois et catorze jours.

Epernay - petite ville du département de la Marne - est le siège de plusieurs maisons de Champagne, dont la maison Moët & Chandon et son orangerie, la maison Mercier et son tonneau le plus grand du monde, la maison de Castellane et sa tour, etc.
Ces maisons possèdent des immeubles du XIXe siècle de style Renaissance ou classique qui sont pour la plupart situés sur l'avenue de Champagne, classée « site remarquable du goût>.
La ville fut, officiellement, au Ve siècle, le nom de Epernay viendrait du gallo-romain « sparnacus » qui signifie lieu planté d'épines. La légende veut que Epernay aurait été fondée par des frères tanneurs venu s'installé sur les bords du ruisseau Le cubry car l'eau aidait à assouplir les peaux...
La majeure partie des caves de ces maisons de Champagne se trouvent sous l'avenue de Champagne, constituant un ensemble de 110 kilomètres de caves qui, outre le stockage du vin, servirent d'abri pendant les guerres ou abritèrent même une course de voitures en 1950 organisée par les usines Renault lors de la présentation de la 4 CV.
L'an 1024, la ville passa aux mains des comtes de Champagne.
La seigneurie d'Épernay est donnée, à Louise de Savoie en 1515, après le sacre de son fils François Ier. Le maréchal de Biron, fidèle d’Henri IV, meurt lors du siège de la ville en le 26 juillet 1592, cent ans aprés la découverte de l'Amérique par Colomb.

En juillet 1.544, après avoir pris Épernay et Château-Thierry, l'empereur Charles Quint menaça Paris. C'est Ronsard qui fait allusion à ces faits militaires dans L'Hymne de Henri II:

Car tu es bien adroit, et de vaillant courage :
Tesmoing est de ton cœur cette jeune fureur
Dont tu voulus pres Marne assaillir l’Empereur,
Lequel ayant passé les bornes de la Meuse
Menassoit ton Paris, ta grand’ Cité fameuse.

L'histoire d'Epernay - je le répéte une foi encore - est étroitement liée à celle du champagne. Si Chalons est le chef lieu du département et Reims le siège de l'Archevêque et la ville des sacres;Epernay est de droit la capital du Champagne. Ce vin français,connu dans le monde entier, élaboré selon la méthode du moine Dom Pérignon et qui légitimement porte le nom de la région ou ancienne province des temps de la Royauté.
Dès la fin du XVIIIe siècle, ce produit va donner à Epernay un fort essor économique. Avec notamment une époque de faste où de nombreux hôtels particuliers sont construits dotant la ville d'un patrimoine riche datant de la Belle Époque.
C'est donc dans cette petite ville d'Epernay - sous préfecture de son départament - que nacquit ma tante Marie Bisbal.

Sa naissance eu lieu, comme j'ai indiqué auparavant un samedi, jour consacré à sa patronne la Sainte Vierge dont elle est demeurée toute sa vie trés dévote. Il faut toute fois signaler que l'imposition au régistre et au baptême du prénom Maria ou Marie ne se doit nullement au fait de naitre un samedi ni à la Sainte Vierge même, sinon à une tradition de famille qui veut que la troisième fille d'un couple majorquin porte le prénom de sa mère si aucune de ses deux soeurs précédantes le porte déja pour être celui de la grand mère paternelle ou de la grand mère maternelle.
Mes grands parents Monsieur et Madame Bisbal - Antonio selon son passeport espagnol ou Toni
comme l'appellent les gens de son village de Fornalutx et Maria née Alberti - ont déja trois enfants.
L'ainée Rose, comme la grand mère paternelle , qui sera ma maman. Un garçon Antoine qui lui porte le prénom de ses deux grands père et de son père en même temps. Puis une autre fille Madeleine, qui sera elle ma marraine. Elle porte le prénom de sa grand mère maternelle.
Le ménage Bisbal est venue s'installer à Epernay peu àpres leur mariage célébré dans leur pays un catorze du mois de décémbre de mil vuit cent quatre vingt quinze. Ils habitent la rue Saint Thibault pas tres loin d'ou se trouve de nos jours l' Hotel du Palai. C'est au numero 30 de cette rue qu'ils ont leur établissement commercial - " Aux Caves de Barcelone" . Et c'est aussi dans ce même immeuble- qui depuis les années 80 ou 90 à été remplacée par une zone verte- que ma grand mère accoucha de ses quatre enfants. C'est donc ici au 30 de la Rue Saint Thibault que nacquit ma tante Maria ou Marie Bisbal. Elle nait un jour avant l'acteur de cinema américain John Wayne (1907-1979) .
Nous sommes en 1.907. Entre la soeur aInée de ma tante ( ma mère) et elle il y a éxactement dix ans
de différence. Une semaine avant de naître ma tante, le 19 éclata une révolte de vignerons à Perpignan dans le Roussillon au pays catalan français
Si en 1.907 regne en Espagne - pays d'ou sont ressortissants Monsieur et Madame Bisbal - un descendant de Louis XIV ( le même qui rattacha le nord de la Catalogne à la France) Alphonse XIII; la République française est elle à la premmière année du septenat de Son Excellence Monsieur Clement Armand Fallières (1841-1931)
Failleres est le Président de la République depuis le 18 février de l'année précédante et il le demeurera jusqu'au 18 février 1913, un an avant de commencer la premmière guerre mondial.
Le vendéen Georges Clemenceau - inscrit a la Gauche Démocratique- est lui le Président du Conseil des Ministres, sois donc le premmier ministre ou chef du gouvernement.
Pour ce qui est de la Ville d'Epernay le notaire Eduard Fleuricourt en est le maire. Il l'est depuis
1889 et le demeurera jusq u'en 1912 la même année que la famille Bisbal retourne dans son pays natal. Il sera remplacé par Monsieur Maurice Pol Roger.
Comme ses soeurs et son frère, ma tante est inscrite au Régistre Civil de l'Hotel de Ville d'Epernay.
Le baptême quand à lui et à différence de la soeur ainée qui eu à l'église Notre Dame, celui des autres enfants- et donc celui de ma tante- fut célébrée en l'église parroissiale de Saint Pierre et Saint Paul.
1.907 fut une année historique aussi bien pour l'Espagne que pour la France. Le 10 de ce même mai naissance, au Palais Royal de Madrid, du Prince des Asturies, l'heritier de la courone espagnol
Au début de l'année ,le 2 janvier en France, la loi proclamant« l’exercice public du culte » est votée, L’Eglise de France est dépouillée de ses biens.
Les prêtres, pasteurs et rabbins ne sont plus payés par le gouvernement. Les édifices cultuels sont repris par l’Etat.
Bien entendu, le pape Pie X ( l'ancien cardinal Giuseppe del Sarto quu cette année a fixé l'age de sept ans pour faire la premmière communion et sera cannonizé par Pie XII) condamne cette loi. C'est la rupture des relations avec le Saint Siège.
Le 30 janvier, l’épiscopat français capitule mais exige des garanties pour la permanence des services religieux. Le 28 mars, une nouvelle loi qui assimile le culte aux réunions publiques est votée. Elle garantie la liberté des cultes
Finalment, le 21décembre, la Chambre des députés vote une dernière lo,i libérant les biens ecclésiastiques. La question est tranchée.
Mes grands parents sont croyants et catholiques patricants. Dans la famille on l'est par tradition mais aussi par conviction. La religion joue un rol social trés important à l'époque. A Fornalutx vous pouvez signaler des doigts de la main les villageois qui manquent la messe du dimange et des jours de fêtes. Et à Epernay, les boucheries ferment le vendredi, jour d'abstinence de la viande. Malgré cela les Bisbal envoient leurs enfants à l' école public devenue elle aconféssionnelle. Le garçon chez Monsieur Gabriel Bachelin et les filles chez Mademoiselle Legras. Un instituteur et une institutrice qui avaient la tête sur les épaules; étaient des bons et éfficasses enseignants et nullement des anticlericaux sectaires.
Si Rose, la fille ainée de la maison, se plait en classe comme un poisson dans l'oeu et, plus ou moins, il en est de même pour Antoine le garçon; l'école, même maternelle, supose une véritable purge pour la petite Marie.
J'ai entendu raconter à ma mère que parfois le grand père rammenait ma tante Marie à la maison parce qu'elle pleurait. Et ça que le père de maman avait une renommée d'homme sevère.
Ma tante, aujourd'hui décédé, passera seulement cinq ans de sa vie dans sa ville natale. Des raisons de santé ( l'artrose du grand père connue alors sous l'appelatif de douleurs et la migraine de grand mère) aconseillent mettre le magasin de la rue Saint Thibault dans les mains de leur employé de confiance et neveu Jaume Antoni Arbona ( fils de la défunte soeur ainée de grand mère). Pour ces mêmes raisons de santé et de climat - et aussi un peu la nostalgie tipique des gens d' Espagne- le retour à la terre des ancêtres est décidé. Ce fut en juillet 1.912.
Le 10 aôut de la même année Marie Bisbal arrive, avec ses parents, frère et soeurs, au village des aieux. C'est le jour de la Saint Laurent, le patron de celui qui sera son mari. Les Bisbal laissent derrière eux dix sept de travail en France. Un magasin d'alimentation, fruits,légumes et buvette, ayant honnête réputation, avec des employés membre de la famille ou originaires de leur pays ainsi qu'une clientèle sparnacienne selecte et respectable. Mes grands parents étaient aimés et considéré à Epernay. Preuve irrefutable de cette estime et considération est l'anecdote suivante. Je crois que ce fut dans les années 20 que mon grand père alla faire un tour en France et dans la Champagne. Sa fille, Marie - ma tante - l'accompagnait. Ils voulurent s'arrêter bien entendue à Epernay. Sur le quai de la gare peu de segonde aprés la descente du train quelle n'est pas la surprise de mon grand père - au bout de biens d'années d'absence - entendre quelqu'un lui dire: " Monsieur Bisbal vous voici de nouveau parmi nous".
A Majorque, à Fornalutx, les quatre soeurs de grand mêre - dont la plus jeune, Francisca de 30 ans, avec une fille d'apeine quelques jours - sont mortes ainsi que ses parents. Le père de grand père Antoine et sa segonde épouse ainsi que ses deux demies soeurs Maria et Catalina Bisbal sont à Dieu merci, eux, encore en vie.
La famille s'installe au village ancestral. Monsieur Bisbal joui d'une rente de cinq pessetas, de l'époque, par jour. Il achette un petit jardin d'orangers et citronniers et deux maisons. Une dans le village même et l'autre dans les alentours. Cette dernière sera hérité par ma tante Marie qui par la suite la vendra c à des anglais. En 1.917 meurt Antoni Bisbal mon arrière grand père maternel - paternel. Mon grand père - son fils de même prénom - hérite la maison familiale située tout en haut d'une rue faites d'escaliers prés d'une grande tour appartenant à la famille de mon père les Estades de Moncaire.
Grand père se met a cultiver son jardin, lui qui pendant sa jeunesse avait été cordonnier dans la ville voisine de Sóller ou il était né le 20 aout 1.867. Il se plait aussi a faire son petit tour au café de la Place de Fornalutx et son jeu de cartes truc et retruc avec les copains. C'est un brave et honnête villageois aimé et tres respecté de ses concitoyens. Entre 1.919 et 1.930 il occupera le poste de juge de paix de sa commune. A l'église il servira la confrèrie de Notre Dame du Trés Saint Rosaire.
Homme de convictions conservatrices et d'ordre, grand père sympatise avec la dictature du Général Primo de Rivera et ensuite celle du Général Franco cause de la persecution religieuse de l'epoque républicaine. Néanmoins Monsieur Bisbal n'approuve pas la francophobie des phalangistes et des franquistes. Il est farouchement lui francophile. " La France est un pays qui a donné et donne du lait à tout le monde". dit il a qui veut l'entendre.
En juillet 1.930 grand mère meurt à 62 ans. Son mari la rejoindra, en 1.948, dix huit ans aprés.
Que fait ma bonne tante Marie dans son nouveau village? Elle frequente d'abord un peu superficiellement l'école des filles de Fornalutx mais surtout elle se met à aider ses parents dans leur labeur campagnarde.
Le 12 septembre 1.940, Marie Bisbal épouse un garçon de Fornalutx, de son âge , Lorenzo ou Llorenç Rullan qui travaille comme menuisier à Sóller . C'est l'homme de sa vie. L'oncle Laurent sera maire de Fornalutx entre 1.956 et 1.965. Pendant son mandat on construisit la nouvelle école des garçons du village ainsi que la nouvelle voie d'entrée qui donne accés a la Place du village, pour rejoindre le chemin qui va a Puig Major. Il est mort le 22 avril 1.970 à l'âge de 62 ans.
Mon oncle et ma tante n'auront pas d'enfants. Llorenç avait un frère plus jeune que lui né à Libourne père de deux garçons, dont le plus jeune Cristóbal ou Tofol fut le filleul de tante Marie.
Tante Marie fut trés appréciée des villageois de Fornalutx.

Elle fut toujouts trés franche. Vous disant les choses en face. Trés travailleuse. C'est elle qui s'est occupée de son papa quand il était souffrant ainsi que de son mari, lequel malheureusement ne jouissait pas d'une excellente santé. Elle fut d'une tres grande aide pour sa soeur Madeleine et le mari de cette dernière ainsi que pour le fils que mon oncle Barhelemie Vicens avait de sa premmière épouse. Quand mes parents en 1.968 et 1.979 se sont mit tres souffrant c'est elle avec ma marraine qui sont venus chez nous pour m'aider. Et c'est tante Marie qui c'est occupée de moi pendant neuf ans aprés le décé de maman, le mardi 20 fevrier 1.979.
Mon hommage en raison de son centenaire,. le 25 mai 2007 fut pour moi un devoir de justice. Ces vers peut être gauche mais sincères ont sortis du plus profond de mon coeur.


Le 25 de ce mai deux mil sept
il y a cent ans ma tante Marie
est nèe á Epernay
chez des commerçants etrangers
eux espagnols majorquins
mais principalment honnêtes et chretiens.

Sa soeur ainèe, ma mère
et l'oncle son frère
le jour même
de son baptême,
parrain et marraine
ont été eux choisis.

En accord avec la coutume familial,
comme la chose la plus normal,
elle a reçu le nom de sa mère
soit donc de ma grand mère.

Tante Marie a cinq ans le pays natal
vous avez changé pour l'ancestral.
A Fornalutx on vous connais
et vous y êtes aimée
comme une femme honnête et serviciale.

La maison ou vous avez vu le jour -
Trente de la Rue Saint Thibault -
n'existe plus en ce jour.
A sa place vous trouverez des beaux bancs
.
Tante Marie, joyeux anniversaire
en cette année de votre centenaire
Que le Bon Dieu vous gardes avec santé.
Merci pour tout ce que ces années
vous avez réalisé pour la famille.
Un trés grand merci je dirai presque même.

Car des personnes aussi désintérèssés et serviables que ma tante, aussi bien en Espagne qu'en France on en trouve deja plus.
De profondes convictions chrétiennes, dévote de la Sainte Vierge et du chappellet, Maria Bisbal - Maria Bisbal Alberti selon le carnet d'identité espagnol- célébra,grace au Bon Dieu le centenaire de sa naissance entourrée de l'affection de ceux qui lui étaient chers et de tout le village de Fornalutx. Ce fut une trés belle célébration ou il manqua pas une messe d'action de grace célebrée par le Père Ricard Janer, Missionnaire des Sacrés de Jesus et Marie, curé de la Parroisse de Fornalutx.
Monsieur Joan Alberti . l'actuel maire de Fornalutx . est le fils d'un cousin germain du mari de ma tante qui fut des années employé et secretaire de mairie.
Cette majorquine par le sang et l'adoption est par sa naissance sparnacienne la compatriote de ces grands sparnaciens que furent:

La vedette de cinema née rue de la Rigole, Marie Odile Léonie Gabrielle Sigrist, plus connue par le pseudonyme de Gabrielle Sigrist
Le chroniqueur Flodoard 894 966. était natif d'Epernay-
Le docteur Hector Landouzy Épernay 1812,- Paris 1864 fut un illustre médecin directeur de l’École préparatoire de médecine de Reims qu'il fonda en 1853. Membre correspondant de l’Académie de médecine.
Le batônier Henri Paris 1821 1902 aussi sparnacien
Charles Ferton (père) 1827 1883 maire de Chierri. C'est le papa de l'etmologiste du même nom
Le journaliste Prosper Mayer , natif de Metz en 1840, décédé, le 10 octobre 1885,à Epernay
Pierre Édouard Renard né à Sainte-Ménehould Chevalier de la Légion d'honneur, fut avoué, maire d'Épernay, conseiller honoraire de la Cour d'appel de Rouen, et président du tribunal civil de Châlons. C' est le grand père du romancier Maurice Renard.
Sir Henri-Gustave Joly de Lotbinière, quatrième premier ministre du Québec de 1878 à 1879, nacquit en France, 5 décembre 1829,à Épernay, Il est dècédè au Quebec 16 novembre 1908, Qu
Vctor Fievet ancien imprimeur à Épernay, Fiévet fit ses études au collège de sa ville natale.

Albert Deullin, treizième as français de la Premmiere guerre mondiale est né le 24 août 1890 à Epernay . Mort en 1.923 à Villacoublay . Il était un militaire et aviateur.
Avec vingt victoires aériennes officielles remportées au cours de la Première Guerre mondiale, figure parmi les plus importants as de l’aviation française de la guerre 14-18.
Le docteur rémois Rénè Tramuset, chirurgien dentiste et dont la famille ´était ami de celle de mes grands parents, nacquit aussi à Epernay le 24 janvier 1,892. Cet éminent fondateur de l'Ecole de Médicine de Reims -précurseur de son actuelle Faculté - est décédé,le 19 novembre 1988 à Asfeld,(Champagne Ardennes),à l'âge de 96 ans.
Lors de la Première Guerre mondiale, la ville natal de ma mère et de ma tante fut détruite aux deux tiers et subit de nouveau bombardement lors de la Seconde Guerre mondiale.
Elle fut libérée de l'occupation nazi le 28 août 1944. un jour avant la libération de Chalons la capitale du département et deux avant Reims, la ville la plus emblèmatique et historique de la région champenoise.
Honneurs aux ancêtres! Que Dieu protège la Famille et le Pays!
Jean Antoine Estades de Moncaire.
Mardi 6 janvier 2009